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Mais pourquoi ?!
La réponse est assez simple: désormais je fais comme tout le monde, je gagne mon pain quotidiens en me levant tôt le matin et en me donnant au maximum dans mon travail.
Bon, c’est ironique, je me lève toujours tard et je ne fais que le strict minimum vous l’aurez deviné.
Ne vous méprenez pas cependant, je fais bien mon boulot et je suis toujours extrêmement ponctuel mais jamais je ne ferai un extra pour du beurre.
Mes supérieurs sont vraiment fort sympathiques, mais pour me faire travailler plus il faudra aligner plus de zéro sur mon chèque.
Cette clause n’est pas négociable.
Pourquoi je vous dis ça ? Car malgré ma preuve d’enthousiasme limitée mon employeur fait des cauchemars à l’idée que je puisse débaucher pour un autre emploi... Oui, c’est flatteur, mais cela donne surtout l’image tristement terne du marché de l’emploi en polynésie.
Les popa’a diplômés sont des messies attendue par d’autres popa’a diplômés pour faire fonctionner leurs commerces.
Commerces qui soit dit en passant trust la majorité du chiffre d’affaire économique sur le fenua.
Ou sont les polynésiens (qui sont chez eux rappelons le) dans cette affaire ?
Je n’en ai pas la moindre idée...
Je sais juste que la polynésie française est un monde merveilleux mais dont le moindre aspect économique est totalement factice.
Si j’avais le temps et l’envie je réfléchirai à la façon de développer tout les atouts du territoire pour en faire des modèles économiques viables.
Seulement, j’en ai peut-être l’envie mais pas vraiment le temps, et je n’ai pas l’air d’être le seul dans ce cas !
Avant de penser à comment va-t-on traduire le règlement intérieur des toilettes publiques en tahitien à la place du français je crois que l’on devrait se concentrer sur comment nos frères polynésiens pourraient avoir la chance de vivre un futur un peu moins sombre.
Non ? ...
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