Avant de vous saouler pendant des mois (et plus si affinité, et moins si pas trop d’affinité) avec Tahiti et la Polynésie, je vais quand même vous toucher deux mots sur la ville d’escale entre Paris et Papeete, à savoir: Los Angeles.
Grande comme 15 fois la France entière (à vue de nez, mais je crois que je dis vrai ! ... enfin...), la cité des anges (donc Los Angeles pour les non-hispanophones, il fallait pas faire Allemand ça sert à rien !) est la seconde métropole des Etats-Unis d’Amérique, après New-York City.
Située sur la côte ouest du pays, au sud de l’Etat de Californie, Los Angeles est aussi l’une des villes les plus importantes à l’échelle mondiale.
Saviez-vous que les villes du monde, toutes sans exceptions, étaient classées par de drôles de scientifique qui ne font que ça toute la journée. Les critères sont divers et variés et mènent à un classement global que l’on pourrait résumer par l’influence générale de la ville sur le monde.
Los Angeles est une ville alpha. Son rayonnement est immense et palpable partout sur terre. Si nous avons tous en nous quelque chose de Tennessee (joke !), on a tous aussi sûrement quelque chose de Los Angeles.
Le cinéma, la musique, les parcs d’attractions, l’industrie des loisirs, l’idée de melting-pot, le libéralisme, l’automobile, la mode vestimentaire, et même les ghettos, tout ou presque est angelenos dans notre monde moderne.
Aussi, se trouver à Los Angeles procure la déstabilisante sensation de se situer au centre du monde. Etrange sensation que celle d’être passé derrière l’écran et de voir s’agiter le berceau de la culture populaire des temps modernes.
Hollywood, Beverly Hills, Bel Air, Santa Monica, Malibu, Venice, Passadena, Anaheim, Long Beach, Orange County, le jour ou j’aurai un enfant je le nommerai d’après un quartier de Los Angeles et je suis au moins sur d’une chose, son nom serait reconnu ou qu’il se trouve de par le monde.
Après c’est certain que pour appeler son fils Long Beach il faut quand même du cran ! (En plus ça sonne trop pourri: Long-beach Fontaine).
Certain l’adore, d’autres lui voue un véritable culte de la haine.
Au final la seule chose dont je sois certain c’est que peu de monde la connaît véritablement et surtout très peu sont près à faire l’effort de la rencontrer.
Pourtant Los Angeles à tout pour plaire et dès ma première fois avec elle j’ai tout de suite senti le feeling entre nous. C’était il y a plusieurs années maintenant mais je n’ai jamais perdu de vue l’idée d’y revenir plus longuement (avec mes mots cela signifie quelque chose comme y passer 5 ans).
Los Angeles c’est une expérience.
C’est effrayant, palpitant, carrément fun, le tout à la fois.
Toutes les nationalités du monde y vivent dans une paix relative en formant une mosaïque incroyable (contrairement à cette mauvaise publicité qu’elle se trimbale comme une lourde marmite, L.A n’est en rien une ville de non-droit).
Oui, la richesse absolue y côtoie la misère la plus terrible, et re-oui, la ville à certain côtés qui peuvent sembler inhumain (la circulation et une certaine forme de tension dans l’air assez spéciale).
Mais au final moi je suis un inconditionnel de Los Angeles que je défend tant bien que mal partout et auprès de tous.
Pourquoi ?
Car le soleil y brille et réchauffe l’atmosphère toute l’année, car les palmiers y sont plus haut qu’ailleurs, car les paysages y sont splendides, immenses et variés, car les gens y sont très sympathiques (et oui...), car on y rêve facilement et en fin de compte parceque la ville se fait critiquer de tout bord et qu’elle s’en fout littéralement.
Et tout ça finalement, et bien ! ça me ressemble pas mal...
A bientôt Los Angeles.
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