lundi 24 septembre 2007

Bungalow sur pilotis, sable blanc et cocotiers

Wow !
C’est merveilleux l’utopie tropicale, je ne vous dis que ça.
Pour reprendre un post précédent, nous avons eu l’occasion avec Ju de découvrir quelques uns des plus beaux hôtels de Tahiti et ainsi de plonger à pieds joints dans l’annexe du paradis.
Selon un constat que l’on vous sort à toutes les sauces dans la région, “ce n’est pas parceque l’on vit au soleil que l’on à pas de problèmes”. D’accord ! Mais ça à quand même une autre allure qu’un problème sous la grisaille et entre deux tours de béton ! Et il faut voir le bon côtés des choses, on à pas besoin de budget pantalons !

Comme le souligne mon titre, c’est toute la parfaite carte postale tahitienne qui s’est animé soudainement devant nos yeux émerveillés.
Bungalow sur pilotis, sable blanc et cocotiers qui penchent au dessus du lagon, oui, ça existe.
Cela semble même complètement irréel tant ces images font des allers et retours devant nos yeux occidentaux. Pour être tout à fait honnête, ce spectacle m’a presque donné un goût de déjà vu au regard de ce tapage publicitaire sur ce paradis lointain qu’est sensé être Tahiti.

Je n’ai pas envie de me la jouer vieil artiste perdu dans son délire mais ce paysage fait véritablement l’effet d’un séisme. Ce tableau de la nature s’approche d’une perfection que l’on recherche tous en fin de compte. Pour être clair, ici l’herbe semble plus verte qu’ailleurs. Cette beauté réelle à fait de Tahiti un nom légendaire parmi les légendes et c’est tout à fait compréhensible. Je pèse toujours mes mots lorsque j’écris mais là je suis battu, le superlatif s’impose, c’est tout bonnement trop irrésistible.

James Cook en découvrant l’île, que l’on appelai en son temps la Nouvelle-Cythère, n’a plus voulu repartir. Tu m’étonnes ! Il devait loger à l’hôtel Intercontinental, alors après un séjour comme ça pas besoin de vous raconter l’angoisse de rentrer en Angleterre (en bon français bien rancunier je dirais qu’il ne pouvait trouver que mieux loin de son pays, c’est vrai).
Comment ça Intercontinental n’existait pas encore ? Laissez moi dire ce que je veux c’est qui l’auteur ici ? Non mais !
Bien sur James Cook ne navigue plus depuis bien longtemps et aujourd’hui la situation est différente.
J’en ai déjà assez longuement parlé mais Tahiti salit son image en coulisses.
D’un côté les hôtels perdurent le mythe du bonheur des mers du sud mais de l’autre... c’est pas l’exact opposé car le cadre naturel reste d’une vraie splendeur mais... bref je n’épilogue pas la dessus mais dores et déjà je trouve ça fort dommage.

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